Recueil de Tutu* 8DD

Titre de la fanfiction : Tenten et l'amour, attention l'Amour avec un grand A s'il vous plait !
Du mangas : Naruto
Personnages : Tenten, Neji, Lee
Genre de la fiction : O-S
Spoil: Non
Commentaire de l'auteur : Un petit O-S juste pour le " fun ", le niveau d'écriture est vraiment minime, j'me suis pas du tout appliqué x)
O-S écrit à la va vite, le reste sera mieux

L’amour est vraiment un sentiment stupide et moi, la maîtresse des
armes de Konoha, je l’ai apprise à mes dépends. Aimer c’est nul. Ça
vous rend faible, comme aurait craché mon coéquipier Neji Hyûga,
l’éternel glaçon. Ah Neji… Neji Hyûga. Et dire que je l’admirais il y a
pas plus de cinq minutes, je le trouvais puissant, doué et intelligent
mais aussi plutôt mignon à vrai dire… Et maintenant, je le méprise, je
le déteste. Pourquoi un changement si soudain ? Monsieur n’a pas eut le
courage de m’inviter à la fête de ce soir, alors que tout le monde y
va, même Lee y va avec quelqu’un ! Incroyable, hein ? Je confirme. Il a
demandé à sa chère et tendre, Sakura bien évidement, de l’accompagner.
La Haruno a bien sur accepter de peur de l’offenser, mais Lee y allait
quand même accompagné de quelqu’un alors que moi, je me retrouverais
toute seule ce soir. Autant ne pas y aller dans ce cas. C’est vrai
quoi, la fête du village ce n’était presque rien, à part que tous les
ninjas et habitants s’y retrouveront pour faire la fête, à se saouler
de saké comme le sait très bien faire notre Hokage adorée, mais ce
n’était rien. J’aurais dû accepter l’invitation de Shino, même si j’ai
toujours trouvé ce shinobi un peu louche. C'est vrai quoi, apprivoisé
des insectes est une chose mais parler à ces mêmes insectes en question
est une autre chose. Même Kiba m’a invité et moi j’ai refusé car je
vivais dans l’espoir que lui me le demande. Je crois avoir refusé son
invitation car j'ai toujours détesté l'odeur de chien mouillé et ce
Inuzuka empestait le chien mouillé ! Malgré qu'il soit un de mes amis,
je ne vais pas vous mentir, j'ai toujours détester son odeur. Enfin
bref, arrêtons de parler de lui car, à ce que je sache, ce n'est pas de
lui dont il est question mais de Monsieur l'Eternel Glaçon de mon
équipe. Que disions-nous à son sujet, déjà ? Ah oui ! Mais Monsieur n’a
pas eut le courage de m'inviter à cette fichue soirée. Plus stupide que
moi, y a pas. Quoi que Naruto me talonne de très près n'empêche.

- - - - - - FLASH BACK - - - - -

Nous étions, Neji et moi, au terrain d’entraînement numéro sept,
j’étais en train de m’entraîner à lancer précisément mes shuriken et
kunai en un point précis, chose que je savais bien évidement faire vu
que je ne ratais jamais ma cible, mais je m’entraînais quand même car
pour la première fois, depuis que je connais Neji s’entend, il ne m’a
pas demandé de combattre avec lui et de perfectionner sa défense
ultime. Croyez moi, j’en étais rester bouché bée. Pour une fois qu'il
ne s'agissait pas de " lui ".

- Neji-kun ! Ten’ !

Je fis volte-face pour apercevoir mon meilleur ami, celui à l’horrible
coupe au bol et à l’allure un peu loufoque accourir vers nous le
sourire aux lèvres.

- Vous ne devinerez jamais ce que je vais vous dire !

- On t’écoute, lançais-je en m’essuyant d’un geste mon front gouttelé de sueur.

- Sakura-chan a accepté mon invitation pour ce soir, s’exclama-t-il en sautant dans tous les sens.

Je vacillais sous la surprise, j'en avais même hoqueté de stupeur ! Je rêve ?

- Il faut que j’aille me préparer, ajouta-t-il. On se voit ce soir ?

- J'en sais rien, soufflais-je.

Mais il était repartit aussi vite qu'il était apparut. On voit bien que
la fougue de la jeunesse se trouvait être en lui... Oh Dieu, Gai-sensei
m'a pourrit le cerveau avec ses propos protagonistes à la con. Mon
Dieu, j'ai pêché. J'ai dit un gros mot... Tenten tu racontes n'importe
quoi ! Ça doit surement être la surprise et l'incompréhension qui te
fait dire n'importe quoi. Disons que c'est ça...

- Et ben, souriais-je, qui l’aurais cru !

- Ça tu l’as dit.

Et maintenant, hein ? Que devais-je faire ? Même Lee avait quelqu’un
pour l’accompagner ce soir, et moi ? Ben moi je vais rentré chez moi et
passer la soirée toute seule à me gaver de dango. Et puis après
l'overdose de dango, je pourrais astiquer mes kunai. Ouaip, pour tuer
le temps y a pas mieux... A moins que je tente une approche.

- Dis Neji… commençais-je hasardeuse.

- Hn ?

- Comme tu le sais, ce soir c’est la fête du village et je…

- Oui et je n’irais pas, je trouve ce genre de fête stupide, dit-il en me coupant, ah excuse moi tu n’avais pas fini.

- Je… non, laisse tomber.

Il n’insista pas, le contraire m'aurait étonné d'ailleurs, puis
reprenait son entraînement comme si de rien n’était. Tenter une
approche ? Tu parles ! Me cogner contre un mur de béton aurait été
moins douloureux qu'un vent de la part du grand prodige. Bon ben ma
petite Tenten, je crois que tu n’as plus d’autre choix que de rester
seule chez toi ce soir.

- - - - - - FIN FLASH BACK - - - - -

- Tenten ? Qu’est-ce que tu fais ici ?

C’était la voix de Temari, depuis notre rencontre et affrontement à
l'examin des chuunins, j'étais devenue plutôt amie avec celle-ci. Elle
avait un caractère bien à elle et ce que j'aimais le plus chez elle
c'est qu'elle disait tout le temps ce qu'elle pensait. Chose que
j'aimerais avoir. Mais vous me voyez, moi la petite et insignifiante
Tenten demandait au Grand prodige, Génie et Eternel glaçon Neji Hyûga
de venir m'accompagner à la fête du village ? Peut être un jour, quand
Lee et Gai-sensei auront changé d'accoutrement, et encore... Je me
retourne pour lui faire face, surprise par son accoutrement je lui
demandais d’un ton triste :

- Ne me dis pas que toi aussi tu y vas ?

Elle était vêtue d’un magnifique kimono dans les tons noir et violet et
avait un éventail dans les mains, ses cheveux étaient coiffés comme
d’habitude attachées à l'aide d'élastique où étaient accrochés
différent petits grolots. Elle était vraiment très belle.

- Si, et figure toi que Shikamaru m’a demandé de l’accompagner,
souriait-elle en hurlant de joie. Mais bon, j'ai du forcer un peu le
destin... N'est-ce pas super ?

Elle avait vraiment l'air aux anges. Je devrais être contente pour elle
mais une pointe de jalousie chatouillaient dangereusement le long de
mes membres.

- Ouais, soupirais-je, géniale.

- Et toi ? finit-elle par demander en me voyant seule sur mon banc.

- Personne ne m’a demandé de l’accompagner, soupirais-je de nouveau.

- Tu rigoles ?! On m’a dit que Kiba et Shino t’ont demander mais tu as refuser ! s’exclama Temari en arquant un sourcil.

- Oui mais ce n’est pas avec qu’eux que je veux y aller… murmurais-je en posant une main sur ma nuque.

- Oh, Neji ne t’a pas demandé ?

Je sentais mes joues s’empourprer à une grande vitesse, avant que je
n'ai pu dire quoi que ce soit, mes joues étaient devenu toutes rouges
et je commençais à bégayer stupidement. Qu… Comment savait-elle ?

- Oh je t’en prie, ne fait pas cette tête veux-tu, dit-elle, presque tout le village est au courant, sauf lui apparemment.

- Géniale, soupirais-je, vraiment géniale !

Maintenant que je venais d’apprendre que tout le voyage savait que
j’aimais Neji, je ne sais plus quoi faire à vrai dire. Me terrain un
trou et y passer le reste de ma vie à l'intérieur ? En gardant un stock
de gland à proximité, je devrais tenir au moins quelques semaines. Le
temps que les choses se calment et le temps que Neji se rende compte de
ma disparition...

- Les mecs, soupira-t-elle, tous les mêmes.

J’acquiesçais tristement.

- J’ai une idée ! Tu n’as qu’à venir avec Shikamaru et moi, je suis
sûre que ça ne lui dérangerais pas et puis je ne vais pas te laisser
toute seule.

- Hors de question, je ne veux pas m’immiscer, grimaçais-je. Ne
t’inquiète pas pour moi, je trouverais bien de quoi me distraire, seule
chez moi…

La kunoichi de Suna insista encore un long moment mais après plusieurs
minutes à lui dire que tout irait bien, qu’elle ne devait pas
s’inquiéter et qu’elle devrait mieux aller s’amuser avec Shikamaru,
elle n’insista pas davantage, me laissant sur mon banc.

Le feu d’artifice avait débuté, annonçant le début de la fête.
Soupirant pour la énième fois, je me résignai à passer ma soirée seule.
Je marchais d’un pas lent vers ma maison, celle tout au bout de la rue.
Et c’était là que je passais devant chez lui. La grande demeure des
Hyûga. J’aurai aimé passer le saluer et lui dire comme quoi je passais
devant chez lui tout à fait par hasard et que… Oh et puis zut, quelle
bouche trou je fais, vraiment. Tu fais presque pitié là, ma p'tite Tenten ! Arrête de croire que tu es différente de toutes les filles qui
roucoulent autour de lui.

- Tenten ?

Un frisson me parcouru le long de la colonne vertébral.

- Ne-ji, balbutiais-je, je…

- Qu’est-ce que tu fais ici ? me demanda-t-il.

J'allais le dire, laisse moi juste le temps de trouver une excuse bidon.

- Et bien… Je passais tout à fait par hasard devant chez toi… et
j’allais rentré. Ouais c’est ça, j’allais rentré donc sur ce à demain.

- Tu ne vas pas à la fête ?

Le faisait-il exprès de me faire souffrir ainsi ? Il doit être le genre
de psychopathe, qui aimait faire souffrir ses victimes avant de leur
donner le coup de grâce en leur brisant le cœur. C'était tout Neji ça !

- Je… non. Je n’ai pas de " cavalier "…

- Shino et Kiba te l’ont demandé pourtant, avait-il répliquer en croisant les bras.

Il avait planté ses yeux d'un doux nuit nacré dans les miens. Je me
sentais à nue quand ses yeux me fixait avec une telle intensité. Mon
Dieu, ne t'évanouis pas tout de suite Tenten !

- C’est que… je ne voulais pas y aller avec eux… et… oh et puis zut
hein, pourquoi devrais-je me justifier d'abord ? Et qu'est-ce que ça
peut bien te faire que je sois pas à la fête ! aboyais-je alors.

Je commençais à déguerpir vite fait avant de sortir une énième absurdité dont je regretterais toute ma vie.

- Tu veux venir te promener avec moi ?

Je me retournais, lentement pour le fixer d’un air surpris. Avais-je
bien entendu ? Ou alors était-ce le fruit de mon imagination ?

- Pardon ? m’inquiétais-je en me touchant le front pour prendre la température. Qu’as-tu dit ?

C'est moi où il a esquivé un sourire ?

- Je t’ai demandé si tu voulais aller te promener avec moi mais si tu as d’autre chose à faire…
- Oui, le coupais-je en souriant, oui je veux aller me promener avec toi.

- Bien, dit-il, allons-y dans ce cas.

Surprise par ce brutal changement, je me pinçais les lèvres. Quelle
cruche ! Il va croire que tu ne peux pas te passer de lui, c'est sûr !
A tout les coups, il va me prendre pour la coéquipière bien trop pot de
colle et qui est seulement là quand on a besoin d'elle et pour rien
d'autre. Non mais là Tenten, tu bats vraiment tout les records. Même
l'Uzumaki n'aurait pas fait mieux niveau stupidité de l'année.

- Tu viens ?

Je m'apercevais que j'avais fait du sur place. Il y avait au moins dix
mètres d'écart qui nous séparait. Moi et mes ébats intérieur... Je
pressais le pas pour arriver à sa hauteur. Nous marchions côte à côte
et un silence pesant avait régné. Comme il n'était pas prêt à lancer un
sujet de conversation, je me suis alors lancée :

- Qui l’aurais cru, hein ? Sakura et Lee…

- Oui, s’était-il esclaffer d’un rire de velours, qui l’aurait cru.

OH MY GOD ! Punaise, pourquoi il fait ça ? Il veut que je fasse un
arrêt cardiaque ou quoi ? Rire d'un rire aussi magnifique, aussi
mélodique, aussi merveilleux, aussi Neji quoi... Là je peux vous dire
que je me retiens pour ne pas tomber dans les pommes comme cette chère
Hinata. Je comprends cette fois pourquoi est-ce qu'elle s'évanouissait
lorsque l'Homme de ses rêves lui parlait ou lui souriait.

- Tu vas bien ? Tu es... bizarre...

Et voilà, comme si cela ne suffisait pas. Voilà qu'il me trouvait bizarre.

- Je vais bien, repris-je.

- Ok, fit-il avec une mimique adorable.

- On dirait bien que tout le monde est à la fête ce soir, même Gai-sensei y est en compagnie d’Anko, ajoutais-je.

Je soupirais sans le vouloir, il s’arrêta et arqua un sourcil visiblement surpris.

- On dirait bien que tu as l’air triste de ne pas y être aller.

- Triste ? répondis-je penaud, non, je suis juste… déçue.

- Déçue ? répéta-t-il comme pour mieux comprendre ce que je voulais dire.

- Laisse tomber… avais-je soupiré, ce n’est pas très important…

Nous continuions à marcher en silence jusqu’à ce qu’il m’arrête. Quoi ? Qu'est-ce que ce passe ?

- Asseyons-nous ici.

Je le regardais s’assoir sur l’herbe humide de ce beau mois de mai,
m’asseyant à ses côtés, je fixais le ciel. Le soleil venait de se
coucher, un dégradé de couleur chaude resplendissait miroitant au loin,
le paysage était vraiment magnifique.

- Attendons un peu, m’informa-t-il.

- Attendre quoi ?

- Tu n'as jamais vraiment était patiente, ria-t-il.

- Pas vraiment, admis-je.

Qu'est-ce qu'il voulait qu'on attende ? Je me creusais la tête à la recherche d'une idée plausible mais rien ne me venait.

- Quand as-tu découvert cette endroit ?

- Quoi, ce petit quoi de Paradis ? C'était il y a à peu près un mois
après notre retour d'une mission avec Gai-sensei. Au lieu de passer
directement, j'ai fait un détour pour passer devant... chez toi.
C'était juste pour vérifier si tu étais bien rentrée...

Il s'arrêta devant mes grands yeux écarquillés.

- Tu es passé devant chez moi pour voir si j'étais bien rentrée ?

Dites moi que je rêve... De l'air vite !

Il acquiesçait et continuait son récit.

- Et c'est ainsi que j'ai découvert un petit chemin qui menait à cette
clairière. C'est ici que je viens quand j'ai besoin de réfléchir.

J'avais de nouveau les yeux grands écarquillés. Il m'a amené dans " son
jardin secret " ? Alors là c'est plus l'arrêt cardiaque, c'est
l'asphyxie assurée !

- Ça va commencé...

Quelques instants plus tard, un feu d’artifice fit son apparition. Nous
étions au première loge pour admirer ce beau spectacle et comme fond
nous avions le droit à un merveilleux couché de soleil.

- N’est-ce pas magnifique ? me demanda-t-il.

- Oui…

Il souriait. Était-ce une lueur de bonheur et de joie de vivre que je descellais dans son regard d’une infinie beauté nacré ?

- Je pense que l’on est mieux ici, tu ne trouves pas ?

J’hochais la tête en guise de réponse. Il était vrai que j’aurai aimé
passer toute la soirée avec lui à la fête du village mais nous étions
mille fois mieux ici, à l’abri de tout curieux, seul, rien que lui et
moi.

- Je n’ai pas su comment m’y prendre pour t’inviter à la fête ce soir, m’avoua-t-il d’un air penaud.

- Alors… tu voulais vraiment m’inviter ? questionnais-je alors.

- Bien sur, répondit-il comme si c’était évident qu’il le fasse, mais je n’en ai pas eu le courage...

Je souriais ultérieurement. Il avait donc l’intention de m’inviter, moi
qui croyait que je ne lui plaisais pas… Je venais de découvrir une
autre facette de Neji, le grand timide maladroit.

- Tu ne m’en veux pas de te faire passer la soirée ici plutôt qu’à la fête ?

- Idiot, rétorquais-je en souriant, du moment que je passe un moment avec toi…

M’approchant furtivement de lui, je lui déposais un tendre baiser sur
la joue en guise de remerciement. Il se laissa faire mais aussitôt que
je relevais la tête, il me prit par la taille pour m’approcher de lui,
mon corps et le sien étaient collés l’un contre l’autre. Son corps en
dessous et le mien au dessus. La chaleur de son souffle me chatouillait
le cou. Il captura mes lèvres timidement ne sachant pas comment s'y
prendre, je mis mes bras autour de sa nuque pour approfondir ce tendre
baiser.

Il était vrai que j’aurai aimé passé la soirée avec tous les autres et
m’amuser à n’en plus finir en compagnie de Neji mais nous étions bien
mieux ici et pour rien au monde je n’échangerai ce pur moment de
bonheur que je venais de passer avec lui car cette soirée, je m’en
souviendrais toute ma vie…

Monsieur Neji Hyûga n’est plus l’éternel glaçon qu’il était et pour ça, je remercie Naruto…

Comme tu peux le constater Cupidon. Oui je crois au grand Amour !
Attention, celui avec un grand A. Car quand tu y as goûté, tu ne peux
plus t'en passer...

Qui as-dit que l'amour rendait idiot ? Moi je dirais plutôt qu'il vous
fait pousser des ailes. Vous vous sentez capable de soulever des
montagnes, c'est ça l'Amour...

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